dimanche 18 juillet 2010

Italie le retour du monstre nucléaire

"Le retour du monstre !

Voici le tract qui a circulé au mois de mai entre trévisse et Venise. dans le tract les auteurr-e-s parlent d’un accord signé voici un an et un autre accord a été signé début avril 2010 pour la formation des gestions de déchets formation effectuée dans la région Rhones Alpes. Cette traduction est issus de ce texte

http://www.informa-azione.info/nucleare_2_il_ritorno_del_mostro%3F

Il ya un an un accord a été signé entre la France et l’Italie, pour la construction de trois nouvelles centrales nucléaires sur le territoire italien. Parmi les sites attractifs, il y avait aussi le nom de Chioggia et à la fin de ce mois nous devrions avoir l’annonce officielle par le gouvernement des lieux choisis pour l’installation de nouvelles centrales électriques. L’accord s’inscrit dans le cadre d’une reprise générale (mais il serait plus correct de parler de "remise à zéro") de l’énergie nucléaire à travers l’Europe et l’Occident en général.

Tout cela était accompagné d’une intense campagne médiatique visant à parrainer la technologie nucléaire comme une solution à la nécessité de continuer de l’électricité et la nécessité par l’industrie italienne, pour être compétitifs avec ceux des pays voisins. Essayer de vendre de nouveaux réacteurs dans le troisième, quatrième, cinquième (sixième ?) Génération que les miracles du progrès, l’énergie nucléaire a augmenté en moyenne presque aussi belle énergie propre et plus sûr.

Qui a dit que cet esprit, en sachant mentir ; accidents au pouvoir ont suivi en continu jusqu’à ce jour dans tous les pays "nucléaires" (malgré le silence complice des médias et des institutions), ont causé la mort par leucémie et de malformations congénitales dans la population et représentent toujours un danger et une menace constante pour celui qui se trouve à vivre. Sans oublier, les déchets accumulés pour la production de cette énergie (avec ses effets secondaires), qui restera comme un héritage à nos successeurs des milliers d’années. 23 années se sont écoulées depuis référendum populaire qui a aboli l’énergie nucléaire en Italie.

À cette époque, l’impression produite par la catastrophe de Tchernobyl a été très forte et la situation politique était trop fragile pour imposer par la force quelque chose de si impopulaire auprès de la population et ainsi, pendant vingt ans, il se fait des illusions que nous avons maintenant tourné le coin et que l’énergie nucléaire, nous aurions le plus entendu. De gauche à passer quelques temps, dans l’attente de la mémoire (et en particulier l’opposition) est affievolisse, le gouvernement a relancé avec un simple décret sur le projet nucléaire, le piétinement et le référendum pétitions rythme pour les partisans de la loi, la constitution , la démocratie etc ...

Aujourd’hui, ce référendum n’est rien d’autre qu’un morceau de papier. Non seulement n’a pas été demandé à personne un avis sur la possibilité de revenir à l’énergie nucléaire ou non (que démontre une nouvelle fois la complicité entre les différentes forces politiques au parlement), mais a été étendu directement le secret d’Etat sur le sujet et zones choisies pour la nouvelle usine sera considéré comme territoire militaire, juste pour comprendre exactement comment nous allons gérer tous les processus pour la construction de nouvelles centrales électriques ... autres que les élections et les référendums !

Qui s’opposera à l’énergie nucléaire doit être prêt à se trouver face à un énorme déploiement de forces militaires et non préparés à faire valoir le chantier et prêt à tout pour imposer cette monstruosité, si indispensable pour ceux qui gouvernent ce monde de la catastrophe.

Ah oui, parce que, en fait, le nucléaire est non seulement idéal mais il est encore indispensable pour assurer la stabilité d’un système capitaliste tel que celui qui est fondé sur l’exploitation et la dévastation de notre planète, la recherche effrénée de ressources énergétiques et conduit à des guerres continuelles pour la gestion et le contrôle de ces derniers. Les guerres deviennent plus intenses et où l’énergie nucléaire a un rôle de plus en plus : inutile de répéter que cette technologie et a créé à des fins militaires et les effets que nous connaissons tous, mais même dans le cas de la frontière centrale entre civils et militaires plutôt ténue , il suffit de constater que l’industrie militaire recycle les déchets produits par les centrales électriques pour la fabrication des armes de forte puissance ou d’armes de l’intensité- de la plus polyvalente basse à la plus forte qui sont utilisées par les armées à travers le monde dans les conflits qui ensanglantent la terre.

Cela explique pourquoi la construction d’un pouvoir, il en résulte une militarisation massive du territoire et l’augmentation des mesures de répression à tous les niveaux. Deuxièmement, la vie de ceux qui se retrouve vivant avec un monstre comme ça, est complètement perturbée : nous vivons toujours avec la certitude que, à tout moment cette bombe pourrait avoir des problèmes, vous vous retrouvez sans défense et conscient que sa vie dépend des mains et la décision de certains technocrates ou des politiques ... dans la pratique une sorte de nœud coulant. Un monde sans armes nucléaires est un monde de guerre et de destruction, et pour stabiliser les besoins pour de plus en plus et la sécurité. S’opposer à des moyens nucléaires, par conséquent, l’objet de (non) l’avenir de plus en plus oppressante et affolant.

Une -opposition à l’etat semble le seul moyen d’arrêter la boulimie, et nous avons eu une confirmation quelques années auparavant à Scanzano Jonico, où toute une région est pratiquement passée contre l’installation d’une décharge de déchets. Un combat comme celui-ci est possible, toutefois, seulement quelques pas de partis, des syndicats et des groupes environnementaux dont la seule fonction est de coordonner, de médiation, puis exploiter un mouvement qui pourrait remettre en question tout le modèle de développement à partir de la neutralisation de tout projet nucléaires. Une lutte autogérés d’en bas, nous croyons, c’est la seule façon de ne pas s’échouer le mouvement contre l’énergie nucléaire dans une simple dispute entre les spécialistes sur ce que l’énergie est meilleure ou pire, mais qui apporte une critique radicale de la société qui le produit .

IL YA DE L’OPPOSITION possible à un monde sans armes nucléaires sans poser les problèmes de la critique de ce monde qui produit ces armes !"

http://paris.indymedia.org/spip.php?article2401